lundi 25 janvier 2010

I'M NOT JESUS

Fuck Off


T’avais envi de partir hier. Je l’ai vu dans tes yeux. Cette rage qui brulait tes pupilles. Je revois ton poing se refermer. Ton regard s’obligeait à me délaisser. T’aurais peut-être du me laisser finalement, t’aurais peut-être du claquer cette putain de porte et balancer ce fuck qui te brulait les lèvres. Pourquoi tu ne l’as pas fait ? De toute façon on avait quoi à perdre ? Une simple idylle enjolivée de mensonges et d’absurdités, les tiennes ? Malgré tout j’avais envi de te serrer dans mes bras, de toutes mes forces, inexistantes. De ressentir ton parfum. Avant tu m’avais fait une promesse, tu t’en souviens ? Tu m’avais dit que tu m’aimais vraiment. En y repensant, je sais pourquoi tu n’es pas partie. Ton cœur ne voulait pas. Dans le miroir tu voyais la vérité, celle que je connais par cœur. Je te manquerai. Et je mourrais si tu partais. Je serai détruite. Et tu le sais. Hier, c’était juste une connerie. La colère s’est emparée de toi. La bêtise de mon âme et on a faillit commettre l’irréparable simplement par dépit. On est con tu ne trouves pas ? J’ai pleuré après. Beaucoup. Parce que je t’aime. Mes larmes étaient lourdes. Sans doute une accumulation. Je suis restée assise à te regarder, guettant tes moindres faits et gestes. Observant ta fureur et la passion qui te dévorait. T’avais envi d’exploser. Puis tu t’es approché, mon cœur s’est mis à battre de plus bel et tu m’as pris entre tes mains, tes merveilleuses mains et tu m’as dit : « jamais je ne pourrais partir...sans toi. »

mardi 15 décembre 2009


ADORATION

Mais pas où commencer ? Je cherche toujours comment débuter ma phrase.. Le bonheur est tellement imprécis et différent pour chacun je pense. Je dirai que mon bonheur se manifeste lorsque je souris, quand je ris. Moi, mon bonheur est si intense si pur, si beau, il me transporte, il me soulève, il m’éloigne. Avec lui je pars, oui je pars. C’est étrange cette satisfaction que j’éprouve lorsque je pars, lorsque il est là, ce bonheur incertain, il est un désir, le désir de toujours être présent je dirai. Quand il est là je ne pense plus, il est un baiser, un baiser amoureux je dirai. Etant petite je pensais que le bonheur c’était d’atteindre les nuages, les toucher ainsi nous touchions le bonheur, cela parait si absurde, complètement fou, maintenant que je réalise que le bonheur est plus simple à tes yeux, à mes yeux. C’est un secret. C’est difficile. Je pense, tu es. Attendre que tu reviennes, ne pars pas, je suis si bien avec toi. Je n’oublierai pas, non, jamais. Ce bonheur lointain, rêveur, ce bonheur, ce sourire, c’est donc cela. Et oui, je parle, je dis, mais j’aime aussi, j’aime tout simplement ce bonheur, ce désir intensément grand, ne me laissant plus respirer, amoureux, voila. Je suis folle. Peut-être ?
Tiens tu es là, je te ressens, oui je souris. A jamais, et il renchérit à jamais pour l’éternité. Petit bonheur je t’aime, je t’aime ainsi sans que tu t’en ailles. Juste une larme, juste une pour te montrer. Juste une pour te dire à bientôt. Tu es un homme, le bonheur ? Penses-tu que l’on peut tomber amoureuse de toi ? Amoureuse de cette chaleur que tu transportes lorsque tu es présent ? Un jour peut-être tu me diras… Simplement, doucement, passionnément es tu.

CHAPT V

Un peu embrouillée, juste passionnée, peu confiance mais aimante, sans en faire trop, ne laissant rien s’échapper de peur d’oublier, ne devrait plus penser ou seulement imaginer. Détester est trop juste aimer est plus fort, avant que rien ne se produise, quelques mots « oui je veux bien ». Un souffle chaud, un geste tendre, rêver de ne rien perdre, à jamais, mais à quoi ca sert ? Ecrire pour partir, aimer pourquoi ? Vite, non c’est lâche. Aimer pour s’évader ? Oui, c’est beau. Le noir effacé bienvenue sourire, ca ne veut rien dire, juste quelques mots, oui car écrire pour partir encore.


A moi de jouer.

dimanche 13 décembre 2009

AND
- ALL THE DAY - ALL THE NIGHT - ALL THE DAY -

DERISOIRE






Accessoirement, c'est petit, peut-être pire.. simplement dérisoire, j'hésite.